Celadit, il peut ĂȘtre aussi destructeur que le Ragnarök. trois Etrangement, Gadrel aime se rendre dans des Ă©glises. Ca le canalise et lui permet de rĂ©flĂ©chir sur les actes immoraux qu'il commet rĂ©guliĂšrement. Cependant, il n'y demande aucun Pardon et se contente souvenir de s'asseoir sans priĂšre ni attente particuliĂšre.
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Excellentpoint de départ pour philosopher Si l'homme est un animal religieux, il ne peut se détacher de la religion car son essence (ou sa nature) l'y reconduit sans cesse. L'athéisme

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 » Disparaissent en mĂȘme temps que Dieu les valeurs de la morale vĂ©hiculĂ©es par la religion ; il est nĂ©cessaire, pour comprendre la pensĂ©e de Nietzsche, d’établir un lien entre la mort de Dieu et l’émergence du nihilisme. Dieu a toujours Ă©tĂ© un extraordinaire pourvoyeur de sens », comme le dit encore Alain Renaut ; si Dieu disparaĂźt, ce sens » disparaĂźt en mĂȘme temps, et il ne reste plus rien » nihil signifie rien » des valeurs et de la morale transmises par la religion. Il n’est donc pas Ă©tonnant que les hommes, dĂ©sorientĂ©s, se tournent vers de nouvelles formes de spiritualitĂ©. Sartre 1905-1980 dĂ©fend, dans L’existentialisme est un humanisme 1946, un existentialisme athĂ©e », aprĂšs avoir expliquĂ© pourquoi, selon lui, l’existentialisme chrĂ©tien, reprĂ©sentĂ© alors par Gabriel Marcel, n’était pas tenable. Sartre dĂ©clare, pour dĂ©fendre l’existentialisme athĂ©e dont il se rĂ©clame, que si Dieu n’existe pas », l’homme, lui, existe ; et chez cet homme, l’existence prĂ©cĂšde l’essence » cela signifie que l’homme existe d’abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu’il se dĂ©finit aprĂšs ». À sa naissance, l’homme n’est rien. Il ne deviendra homme qu’en se construisant comme tel Ainsi, il n’y a pas de nature humaine, puisqu’il n’y a pas de Dieu pour la concevoir ». Ainsi, l’homme n’est rien d’autre que ce qu’il se fait ». Mais se faire ou se choisir, c’est Ă©galement faire et choisir, parce que prĂ©cisĂ©ment l’homme est homme, pour tous les autres hommes Choisir ceci ou cela, c’est affirmer en mĂȘme temps la valeur de ce que nous choisissons, car nous ne pouvons jamais choisir le mal ; ce que nous choisissons, c’est toujours le bien, et rien ne peut ĂȘtre bon pour nous sans l’ĂȘtre pour tous ». Ainsi, explique Sartre, l’homme, lorsqu’il conçoit sa propre morale, la conçoit pour les autres. La morale humaine dĂ©crite par Sartre a par consĂ©quent une vocation universelle, Ă  l’instar de la morale religieuse. Il ne s’agit pas, dans l’optique sartrienne, de crĂ©er une morale seulement individuelle. etde nos instincts de survie. Mais c’est justement en se perdant, en se donnant Ă  nous, qu’il est en train de nous sauver ! JĂ©sus s’est souvent dĂ©robĂ© Ă  la violence, autant qu’il a pu (Luc 4, 30 ; Jean 8, 59). Il l’a fait pour que quelques paroles nous restent afin d’éclairer ce qui va se passer. Il l’a fait pour donner
Le corrigĂ© sujet 1 ProblĂ©matique Le que » invite Ă  un plan catalogue, piĂšge Ă  Ă©viter ! Il s'agit d'interroger ce que peut apporter le travail , qui est spontanĂ©ment associĂ© Ă  un gagne-pain et en mĂȘme temps Ă  une idĂ©e de contrainte soumission au processus vital, nĂ©cessitĂ© de produire en transformant la nature nos moyens de subsistance, de pĂ©nibilitĂ© et de dĂ©pense d'Ă©nergie physique et psychique. C'est l'aspect labeur du travail, que vient compenser la production ou le salaire seulement en partie selon Marx qui ne sont pas en eux-mĂȘmes des gains, dans le sens oĂč cela vient juste compenser ce qui a Ă©tĂ© perdu au travail temps, force, parfois mĂȘme son humanitĂ© et son Ăąme. Mais peut-on rĂ©duire le travail Ă  cela, le travailleur Ă  l' animal laborans » comme le dit Hannah Arendt. Ne peut-il pas y avoir dans le travail une dimension d’Ɠuvre par laquelle l'homme s'affirme comme homme et individu, et par lĂ  un vĂ©ritable gain, par delĂ  ces compensations ? Mais la trouve-t-on dans tout travail ? Quel travailleur est gagnant ? Et qu'est-ce qu'on entend par gain ? On dit que travailler c'est gagner sa vie », mais qu'est-ce qu'une vie gagnĂ©e ? Plan possible I. On dit que travailler , c'est gagner sa vie »... A - on doit en effet produire de quoi survivre donc on gagne cela B - en tant qu'activitĂ© Ă©conomique, le travail permet d'avoir sa place dans la sociĂ©tĂ© C - devenu une des valeurs centrales de nos sociĂ©tĂ©s Transition mais le salaire n'est que ce que l'on reçoit en Ă©change de l'effort fourni, c'est la contrepartie ; la transformation de la nature est un rĂ©sultat, non un gain. La satisfaction de nos besoins n'est que la condition de leur renaissance , soumission au processus vital. II. il n'y a rien Ă  gagner dans le travail, un simple moyen de survivre A - le travail est un effort douloureux imposĂ© par l'aiguillon de la nĂ©cessitĂ© historique trop nombreux pour se contenter de puiser dans la nature ou rupture de l'harmonie avec la nature chez Rousseau ou mĂȘme naturelle nature inachevĂ©e qui nous condamne Ă  devoir transformer la nature pour rĂ©pondre Ă  nos besoins. Il est labeur, punition dans la GĂ©nĂšse, contrainte B - le travail est une contrainte, la marque de notre asservissement au processus vital, d'oĂč sa condamnation dans la GrĂšce antique ; c'est une activitĂ© indigne d'un homme libre, c'est pourquoi elle est rĂ©servĂ©e aux esclaves. C - le travail comme labeur du soir au matin » est la meilleure des polices » pour Nietzsche dans Aurore il Ă©puise force nerveuse, tue l'initiative individuelle et rĂ©duit les vues de l'homme Ă  un but mesquin » Transition ce que condamne Nietzsche, c'est une certaine forme de travail, celle de la rĂ©volution industrielle, oĂč les machines, la logique quantitative de la production et la consommation triomphent. C'est que Marx dĂ©nonçait comme aliĂ©nation du travail, dĂ©possession. Mais s'il y a dĂ©possession dans le labeur, c'est que le travail ne se rĂ©duit pas Ă  cela ? III. il peut y avoir quelque chose Ă  gagner par delĂ  le salaire qui n'est pas en soi un gain! dans le travail A - le travail permet de façonner la nature pour en faire un monde humain. Le travail est un Ă©lĂ©ment fondamental de la culture. Selon Marx, c'est par lĂ  que l'homme se distingue de l'animal. B - lorsqu'il y a technique, production d'une Ɠuvre, le travail permet de s'affirmer comme homme et individu dialectique du maĂźtre et de l'esclave de Hegel, cogito pratique ». En travaillant, l'homme se fait homme et s'affirme pour lui et pour les autres reconnaissance sociale. C - le travail permet aussi de conquĂ©rir la libertĂ© en formant la volontĂ© et la mystique exige la mĂ©canique » selon Bergson. Conclusion si le travail ne se rĂ©duit pas Ă  un gagne-pain, s'il y a en lui technique et Ɠuvre, il peut ĂȘtre un gain pour l'homme. Mais il faut que le travail reste un travail, un moyen de gagner sa vie et non une fin en soi et un moyen de pouvoir s'affirmer pour ensuite pouvoir se rĂ©aliser en tant qu'homme et individu. Gagner sa vie, ce n'est pas encore la rĂ©ussir. Sujet 2 ProblĂ©matique si la croyance est spontanĂ©ment associĂ©e Ă  ce qui n'est pas fondĂ© en raison, Ă  l'irrationnel, ⁃ la raison ne se rĂ©duit pas au rationnel, l'excĂšs de raison peut ĂȘtre dĂ©raisonnable il convenait de distinguer les 2 sens de raison rationnel/raisonnable ⁃ l'irrationnel ne se rĂ©duit pas Ă  ce qui est contraire Ă  la raison, il peut aussi ĂȘtre ce qui est au-delĂ  de la raison, Ă©tranger Ă  la raison le cƓur a ses raisons que la raison ne connaĂźt point » selon Pascal. ⁃ ⁃ Le sujet invitait donc Ă  s'interroger sur les fondements de la croyance le toute » invitait Ă  se demander si justement on ne peut pas distinguer des croyances rationnelles et des croyances irrationnelles et sur ce qui est contraire ou non Ă  la raison, sur la distinction entre raisonnable et rationnel Plan Possible I. Si l’usage de la raison exige un rejet de la croyance, c'est que toute croyance semble contraire Ă  la raison A - toute dĂ©marche qui se veut objective et rigoureuse exige que l’on fasse une critique des opinions reçues, des prĂ©jugĂ©s, des croyances ordinaires qui constituent les premiers obstacles Ă©pistĂ©mologiques » Bachelard et qui ne sont fondĂ©s que sur le ouĂŻ-dire, les dĂ©sirs, l'expĂ©rience premiĂšre, la force de l'adhĂ©sion commune, donc non fondĂ©s en raison. On pouvait ici faire rĂ©fĂ©rence Ă  l'allĂ©gorie de la caverne et aux analyse freudiennes et marxistes de l'illusion religieuse. C - c’est en rompant avec les explications religieuses ou les mythes, bref les approches de la foi, de la croyance religieuse que la pensĂ©e scientifique ou philosophique est nĂ©e la loi des 3 Ă©tats de A. Comte C - le souci de la vĂ©ritĂ©, exigence de la raison, s'oppose Ă  l'adhĂ©sion de la croyance Penser n’est pas croire » Alain ; la raison invite Ă  la distance critique, au doute.. Transition la croyance semble donc contraire Ă  la raison aussi bien dans ses fondements que dans l'adhĂ©sion qu'elle implique, mais toute croyance est-elle pour autant irrationnelle ? II. Certaines croyances ne sont pas contraires Ă  la raison A - distinction platonicienne entre la doxa et l’opinion droite. B - la croyance religieuse peut s'appuyer sur une thĂ©ologie rationnelle les preuves de l’existence de Dieu C - la pensĂ©e rationnelle semble s’appuyer elle aussi sur certaines croyances, postulats admis sans ĂȘtre dĂ©montrĂ©s ou prouvĂ©s rationnellement. il n'est pas de sciences sans prĂ©suppositions » Nietzsche. La science , malgrĂ© sa rationalitĂ©, ne dĂ©bouche pas sur des vĂ©ritĂ©s absolues mais seulement des vĂ©ritĂ©s provisoires, des croyances rationnelles. D - la croyance n'est pas contraire Ă  la raison, elle est au-delĂ  de la raison Pascal. Elle souligne les limites de la puissance de la raison aussi bien d'un point de vue thĂ©orique que pratique Kant et le postulat de l'existence de Dieu, comme un des 3 postulats de la morale aux cĂŽtĂ©s de la libertĂ© et de l'immortalitĂ© de l'Ăąme. Transition donc la croyance n'est pas nĂ©cessairement contraire Ă  la raison ; si toute croyance ne s'oppose pas Ă  la raison, Ă  quelles conditions croyance et raison peuvent-elles coexister ? III. Une coexistence possible A - ce que l’usage de la raison rejette absolument , ce n’est pas la croyance en elle-mĂȘme, ce sont ses dĂ©rives que sont le Fanatisme idĂ©ologique, religieux, sectaire aveugle et misologue et la superstition qui nourrit la peur et qui empĂȘche Ă  la fois le progrĂšs de la connaissance la superstition ne vivant que de l’ignorance et la vie raisonnable , c’est-Ă -dire sage par ex. la philosophie Ă©picurienne qui pose les principes de la vie sage et heureuse commence par une physique, qui a pour objectif de dĂ©mystifier », de dĂ©mythifier » le monde, de sĂ©parer soit-disant divin et purement physique, car c’est la peur des Dieux qui trouble l’ñme et empĂȘche de parvenir au Bonheur , l’ataraxie . Autrement dit ce que rejette l’usage de la raison , c’est la croyance qui nie la science ou qui se prend pour de la science, qui ignore qu’elle n’est qu’une croyance. B - l’opinion est parfois le seul point d’appui que l’on a pour diriger sa vie , faute de rĂšgles objectives du bonheur , par exemple. Et si on s’y tient, elle permet d’avoir une conduite, alors que le doute permanent empĂȘche de vivre et d’agir la morale provisoire de Descartes C - on peut penser qu'on a besoin de croyances pour vivre et que c'est en quelque sorte une rĂ©action dĂ©fensive de la nature contre la raison Bergson. C'est la rançon de l'intelligence ». On a besoin d'illusion. Sujet 3 ThĂšse dans cet extrait Spinoza s'oppose Ă  l'idĂ©e selon laquelle l’État rĂ©duirait les hommes Ă  une obĂ©issance mĂ©canique en en faisant des bĂȘtes », des automates ». Il soutient donc que l’État a pour but la libertĂ©, dont il rend possible l'exercice en sĂ©curisant et pacifiant les rapports humains lignes 1 Ă  6, qu'il prĂ©suppose dans l'acte de soumission volontaire au souverain lignes 6 Ă  12 et qu'il laisse intacte en ne portant pas atteinte Ă  la libertĂ© de juger et d'opiner lignes 12 Ă  la fin. Ce texte invite donc Ă  s'interroger sur les rapports entre État et libertĂ© et Ă  repenser la notion de libertĂ© Ă  travers les distinctions entre indĂ©pendance et autonomie et droit d'agir et droit de raisonner et juger. On pourra aussi s'interroger sur la valeur de cette libertĂ© de penser et de juger, qui, si la dĂ©sobĂ©issance est interdite, pourrait sembler se rĂ©duire Ă  parler Ă  son bonnet », Ă  une libertĂ© bien vaine. Explication ⁃ lignes 1 Ă  6 Spinoza expose l'idĂ©e de ceux qui voit dans l’État une institution liberticide et dĂ©naturante, puisqu'on y passerait d'un Ă©tat d'ĂȘtre raisonnable Ă  un celui d'une bĂȘte, dĂ©nuĂ©e de raison, incapable de se conduire et soumise aux ordres d'un tiers comme Ă  ses impulsions naturelles. Spinoza renverse cette idĂ©e, en montrant qu'au contraire, l'Etat permet Ă  chacun de rĂ©aliser sa nature d'agir conformĂ©ment Ă  la nĂ©cessitĂ© de sa prore natureet au lieu de tenir par la crainte, le jeu des passions en libĂšre dans le rapport avec les autres et en soi-mĂȘme. Il permet au corps et Ă  l'Ăąme d'assurer leur fonctions, en assurant ordre et sĂ©curitĂ©. Il dĂ©passionne les rapports humains permettant ainsi de ne plus ĂȘtre esclaves des passions. D'une vie dominĂ©e par la haine, la colĂšre, la ruse, on peut sous la protection de l'Etat passer Ă  une vie placĂ©e sous la conduite de la raison. on retrouvera la mĂȘme idĂ©e dans le passage de l’état de nature Ă  l'Ă©tat civil chez Rousseau Donc bien loin de tenir par la crainte idĂ©e de Hobbes , l’État en libĂšre pour Spinoza et c'est la raison pour laquelle les hommes acceptent de se soumettre Ă  son autoritĂ©, qui n'est que le fruit de ce consentement. C'est pourquoi Spinoza prĂ©cise que la fin de l’État est en rĂ©alitĂ© » la libertĂ© et non la soumission et l'obĂ©issance. La sĂ©curitĂ© n'exige pas le renoncement Ă  la libertĂ©. ⁃ Lignes 6 Ă  13 c'est ce qu'il va prĂ©ciser en explicitant les conditions de l’institution de l’État et ses raisons d'ĂȘtre. C'est parce que les hommes ont des jugements divers consĂ©quences des complexions diffĂ©rentes, des limites des connaissances, que si chacun agissait en consĂ©quence, il pourrait y avoir conflits et insĂ©curitĂ©. C'est pourquoi chacun renonce Ă  agir selon son dĂ©cret et accepte de renoncer donc volontairement et librement Ă  ce droit et de le confier, transfĂ©rer au souverain quelque soit le rĂ©gime dĂ©mocratique, aristocratique ou monarchique. On pourrait ici voir un renoncement semblable Ă  celui exigĂ© par Hobbes dans son pacte, mais ce n'est pas le cas. ⁃ Lignes 13 Ă  la fin c'est ce sur quoi va conclure Spinoza en distinguant droit d'agir et de raisonner et penser » et d'expression, de diffusion, de publication des idĂ©es = enseignement. En se soumettant aux dĂ©crets du souverain dans ces actes, l'homme ne renonce pas pour autant Ă  sa libertĂ© de pensĂ©e. Il obĂ©it aux lois, parce qu'il y a consenti pour la paix et sa sĂ©curitĂ©, donc pour jouir de ses droits naturels, mais il n'y soumet pas son Ăąme. Il reste entiĂšrement libre de penser ce qui lui semble bon et a le droit de l’exprimer par en usant de moyens raisonnables et en en restant Ă  des paroles. Du rapport de force, de la persuasion,on passe Ă  des rapports de raison, Ă  la volontĂ© de convaincre. Donc pour Spinoza, l’État ne porte pas atteinte Ă  la libertĂ© au contraire il la rend possible, effective et l'exige pour ne pas outrepasser ses pouvoirs. Renoncer Ă  agir conformĂ©ment Ă  ses dĂ©crets, n'empĂȘche pas l'individu de penser par lui-mĂȘme, et c'est lĂ  la vĂ©ritable libertĂ©, qu'on ne saurait cĂ©der Ă  l’État. La libertĂ© n'est pas dans la dĂ©sobĂ©issance, mais dans la rĂ©sistance et la vigilance citoyenne, mais encore faut-il que l’État la laisse ĂȘtre. C'est quand il l'entrave en bridant la libertĂ© de la presse, d'expression, en voulant formater les esprits, qu'il devient liberticide ou quand le peuple se soumet corps et Ăąme.
Lareligion peut sembler donner un sens à la vie, mais c'est une illusion. Le sens de la vie est de faire les choses que vous trouvez épanouissantes. La religion devrait apporter la paix à ceux

sowabdourahmane99 sowabdourahmane99 June 2022 1 10 Report Reformule le sujet l'homme peut ils se passer de la religion​ Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. Lista de comentĂĄrios jymmiharri RĂ©ponseL'homme pourrait il vivre sans des croyances et sans se persuader qu'il y a des ĂȘtre supereure qui digire le monde et qui, du coup donne des explication Ă  l'homme sur se qu'il ne comprend pas. 0 votes Thanks 2

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l homme peut il se passer de religion